Moyens de mise en interaction (Composante)
Résumé:
Les moyens de mise en interaction sont l’une des composantes de la structure d’ensemble. La première définition a été développée par Gendreau en 1978. À cette époque, elle se nommait moyens de mise en relation. Par la suite, il l’a renommée moyens de mise en interaction raffinant du même coup sa définition.
Ces moyens permettent d’engendrer des interactions qui, à leur tour, mèneront possiblement à l’établissement d’une relation entre les acteurs de l’intervention afin de permettre aux sujets d’être actifs dans leur cheminement et d’atteindre leurs objectifs.
L’objectif de cet article est de permettre au lecteur de prendre connaissance de cette composante d’abord sur un plan théorique, puis sur un plan clinique.
1) Quelle est l’importance de ce concept dans la théorie psychoéducative?
Composante indissociable de la structure d’ensemble et en interrelation dynamique avec toutes les autres. Elle est essentielle pour favoriser la mise en action du sujet de l’intervention dans sa démarche de réadaptation
2) Quel est le niveau de connaissance associé à ce concept?
Cette composante regroupe trois catégories de moyens c’est-à-dire la gestion des apprentissages, la gestion des comportements et les moyens didactiques. Pris séparément, de nombreuses études montrent l’efficacité de chacun d’eux, mais la composante en tant que telle n’a jamais fait l’objet de travaux.
3) En quoi ce concept est-il important dans la pratique psychoéducative aujourd’hui?
Les moyens de mise en interaction sont au cœur de l’animation dans l’ici et maintenant et le vécu partagé, ils sont donc essentiels à toute intervention psychoéducative.
Introduction:
Dans le cadre d’une intervention, il importe de créer un lien entre le sujet de l’intervention et le programme ou le contenu de celle-ci. Les moyens de mise en interaction entrent ainsi en jeu.
La première définition de la composante moyens de mise en interaction a été développée par Gendreau en 1978. À cette époque, elle se nommait moyens de mise en relation. Par la suite, il l’a renommée moyens de mise en interaction raffinant du même coup sa définition.
L’objectif de cet article est de définir la composante moyens de mise en interaction, d’en situer l’emplacement au sein de la structure d’ensemble psychoéducative, exposer l’utilité ainsi que l’application clinique, pour terminer sur son soutien empirique.
Définitions
La première définition de Gendreau (1978) concernant les moyens de mise en relation décrivait ceux-ci comme étant l’ensemble des moyens mis à la disposition des individus, tant sujets qu’animateurs, pour entrer en relation et atteindre les objectifs proposés par le milieu. Il a dès lors précisé qu’ils pouvaient être envisagés à l’égard du sujet, d’un sous-ensemble de sujets, de la totalité de la clientèle ou des animateurs du milieu.
En 2001, Gendreau a retravaillé sa définition en précisant que les moyens de mises en relation sont l’ensemble des techniques d’intervention utilisées par un éducateur, une équipe institutionnelle ou une unité de vie afin de mettre le sujet en relation avec la réalité et avec lui-même. Ce faisant, lors de sa proposition de changement d’appellation- renommant la composante Moyens de mise en interaction- Gendreau (Gendreau & Boscoville, 2003) rappelait que ces moyens permettent d’engendrer des interactions qui, à leur tour, mèneront possiblement à l’établissement d’une relation entre les acteurs de l’intervention, mais qu’il n’y a pas de garantie que tous les moyens utilisés y conduisent. Dans une perspective clinique, une telle composante permet de rendre compte des moyens ou stratégies utilisés pour favoriser l’établissement d’une relation psychoéducative entre les différents sujets du milieu ou entre les différents acteurs. Il pourrait autant s’agir de la remise de documentation sur le suivi, que d’encouragements verbaux ou de la participation à un jeu de société, bref de toute interaction qui permet de mettre le sujet en contact avec l’objectif poursuivi. Ainsi, les moyens de mise en interaction visent à contribuer à l’atteinte de l’objectif du jeune ou de la personne, en lui permettant de jouer un rôle actif et de s’impliquer dans son cheminement. De plus, la plupart de ces moyens sont utilisés dans l’ici et le maintenant à travers le vécu partagé avec la personne.
En 2005, Renou a complété le concept développé par Gendreau en y intégrant deux différents niveaux de compréhension. Selon lui, il est possible d’aborder la notion de moyens de mise en interaction d’abord sous l’angle des moyens pédagogiques employés dans une intervention- la didactique- et, au deuxième niveau, sous l‘angle des moyens mis à la disposition des sujets et référents pour leur permettre d’atteindre les objectifs. Ces deux points méritent d’être approfondis.
Didactique
Dans sa perspective, Renou(2005) défini la didactique comme « l’art de l’enseignement » ou le choix de la méthode qui favorisera l’apprentissage. Abordés sous cet angle, les moyens de mise en interaction permettent au sujet de vivre des interactions avec les autres acteurs de l’intervention, mais également avec les autres composantes de la structure d’ensemble. Par exemple, un sujet prend connaissance de l’environnement physique, du temps, du code et des procédures qui régissent un milieu. Ainsi, il s’agira de favoriser l’apprentissage dudit sujet au sein de cet ensemble de structures, mais également par rapport à celles-ci. La figure 1 présente diverses méthodes didactiques telles que recensées par Renou.
Encadré 1 : Les méthodes didactiques (Renou, 2005) | |
Didactiques associationnistes ou traditionnelles | Basées sur l’intuition, elles reposent sur les sens et l’expérience. On met le sujet en contact avec ce que l’on veut lui faire apprendre, souvent d’abord par la vue et ensuite par la verbalisation de la notion. L’élève doit mémoriser les informations. |
Didactiques reliées aux théories du conditionnement | Conditionnement de premier type (Pavlov); Conditionnement opérant (Skinner);Quand un plaisir associé à une action entraîne la répétition de cette dernière. |
Didactiques reliées aux théories de la gestalt | Le sujet perçoit la totalité d’une situation et la transfère à une autre situation d’apprentissage. Il perçoit tous les éléments et la logique derrière comme un tout, sans efforts conscients. |
Didactiques reliées à la théorie interactionniste de Piaget | Le sujet évolue à travers ses expériences en développant ses structures mentales au fur et à mesure que se développent ses schèmes par le processus d’adaptation |
La didactique psychologie d’Aebli | Implique une action réelle et concrète du sujet dans son écosystème pour conduire à l’acquisition d’une notion |
À la lecture de l’encadré, il est possible de comprendre que les méthodes didactiques sont en fait des stratégies d’enseignement. Actuellement, une majorité de théoriciens en éducation s’accordent pour regrouper les modèles de l’enseignement et de l’apprentissage selon quatre courants : le courant béhavioriste, le courant cognitiviste, le courant constructiviste et le courant socio-constructiviste (Kozanitis, 2005). Ainsi, la méthode didactique est également associée au domaine de l’enseignement.
Il faut faire bien attention de ne pas confondre la méthode didactique avec les moyens didactiques. Alors que la méthode est issue d’une idéologie ou d’une école de pensée, les moyens concernent plutôt la façon choisie par l’éducateur pour transmettre le contenu de l’intervention au sujet. Il s’agit d’examiner comment le contenu sera présenté au sujet. Généralement, le choix du moyen doit se faire à partir des capacités et du niveau d’autonomie de ce dernier.
Dans la littérature, on retrouve deux classifications possibles des moyens didactiques. D’abord, Renou (2005) en a distingué deux types : 1- Ceux où il y a principalement de la transmission de la part de l’éducateur, 2- Ceux où il y a surtout une démarche active de la part du sujet. Gendreau (1978) a, quant à lui, présentés les moyens à l’aide de différents modes de gestion des apprentissages : directif, semi-directif et non-directif. Ces deux classifications regroupent toutefois les mêmes moyens didactiques; ils sont présentés dans l’encadré 2.
Encadré 2- Les moyens didactiques (Gendreau, 1978; Renou, 2005) | |||
Moyens didactique | Définition | Classification de Gendreau | Classification de Renou |
Imitation | L’éducateur fait devant le sujet et lui fait faire pas à pas les opérations pour qu’il arrive à la solution. Il transmet une façon unique de procéder. Ex : Construction d’objet | Gestion directive | Principalement de la transmission de la part de l’éducateur |
Démonstration | L’éducateur exécute devant le sujet toutes les opérations pour arriver à la solution. Il transmet la façon de procéder sans la faire pas à pas. Ex : Problème mathématique | Gestion directive | Principalement de la transmission de la part de l’éducateur |
Transmission verbale | L’éducateur présente verbalement la synthèse de connaissances sur un problème précis. Ex : exposés magistraux | Gestion directive | Principalement de la transmission de la part de l’éducateur |
Découverte | L’éducateur a structuré une démarche. Il sait où elle mène et guide le sujet avec souplesse. Le sujet découvre par lui-même la façon d’arriver au résultat. | Gestion Semi-directive | Expérimentation active du sujet |
L’interaction | L’éducateur créé un environnement dans lequel le sujet choisit, créé ses problèmes et travaille à les résoudre. | Gestion non-directive | Expérimentation active du sujet |
Dans un mode de gestion directif, l’intervenant encadre complètement le sujet dans sa démarche et ce dernier devra répéter les mêmes actions. L’intervenant qui planifie une gestion directive utilise donc l’imitation, la démonstration ou la transmission verbale. Dans une gestion semi-directive, l’intervenant guide le sujet avec souplesse bien que les consignes de base et le résultat soient déterminés. Il utilise donc la démonstration afin de démontrer au sujet ce qui est attendu de lui, mais le laissera libre de découvrir les diverses façons d’y arriver. Finalement, l’éducateur qui permet au sujet de choisir ses défis et ses méthodes de travail emploi une gestion non-directive. L’interaction serait le moyen privilégié puisque l’intervenant fournit ainsi du support sur demande dans le cadre d’un échange.
Moyens mis à la disposition des sujets
Toujours selon les écrits de Renou (2005), le deuxième niveau des moyens de mise en interaction concerne les moyens mis à la disposition des sujets pour favoriser l’atteinte de leurs objectifs. À leur tour, ces moyens peuvent se sous-diviser en deux catégories c’est à dire les techniques d’intervention et le matériel.
Les techniques d’intervention font partie des moyens de mise en interaction puisqu’elles permettent à l’éducateur de faciliter la participation des sujets à l’intervention en soutenant leur autonomie et en fournissant un support à l’autorégulation de leurs émotions. Le fait que les sujets aient souvent besoin d’un support éducatif ne fait que supporter la nécessité de l’emploi de telles techniques éducatives (Renou, 2005). Tout comme pour les méthodes et les moyens didactiques, il importe de tenir compte du sujet, de ses compétences et de ses vulnérabilités pour le choix d’une technique d’intervention. Il importe que l’éducateur prenne ces deux aspects en considération afin de trouver la méthode qui permettra la réadaptation du sujet, l’atteinte des objectifs. Ainsi, la décontamination par l’humour pourrait ne pas être appropriée dans certaines situations, mais l’être beaucoup dans une autre. Par exemple, il ne serait pas approprié de dédramatiser ou de détendre une atmosphère en faisant une blague portant sur un geste commis par un enfant qui a très peu confiance en lui alors que pour un autre qui est plus confiant en ses moyens, l’utilisation de l’humour pourrait simplement l’aider à se rendre compte qu’il a essayé et que le fait de se tromper n’est pas très grave.
Finalement, le matériel utilisé comprend tout le matériel concret nécessité par l’intervenant pour mettre le sujet en contact avec l’intervention : papiers, cartons, crayons, tapis de gymnastique, etc. Dans le présent cas, il est pratiquement possible de dire que le fait d’envisager cette partie est un excellent aide-mémoire permettant de faire en sorte que l’animation puisse se dérouler dans des conditions optimales. Il serait en effet dommage qu’une activité d’hockey, qui viserait par exemple à favoriser le développement des habiletés sociales des jeunes, ne puisse pas se tenir puisque l’équipe n’aurait ni balles, ni bâtons.
Emplacements dans la structure d’ensemble:
La composante moyens de mise en interaction est une composante satellite de la structure d’ensemble. La figure 1 montre son emplacement dans la structure d’ensemble.
Figure 1. Emplacement dans la structure d’ensemble
Gendreau, Prince, & Bernier, 2005
Applications cliniques
Dans la réalité, l’emploi d’une modalité didactique exigeant une participation active du sujet pourrait s’avérer un mauvais choix si la tâche est trop ardue pour ce dernier où si son niveau d’autonomie ne lui permet pas d’exécuter la tâche. En effet, tel que cela est mentionné précédemment, le choix d’une méthode, d’une modalité et d’une technique d’intervention doit être basé sur les capacités et les vulnérabilités du sujet à qui l’on s’adresse. Un niveau de connaissance suffisant du sujet, ainsi que du programme et des objectifs est donc nécessaire afin d’adapter les modalités. Par exemple, pour un jeune enfant autiste, le cadre théorique, ainsi que les modalités et les techniques d’interventions ne seraient pas les mêmes que pour un adolescent délinquant. Autrement dit, l’éducateur doit choisir son moyen de mise en interaction en fonction de la problématique et de l’objectif que le jeune doit atteindre tout en gardant en tête que le but premier est d’aider la personne à cheminer. Puisque l’objectif du présent article est de présenter la composante de la structure d’ensemble, l’appariement entre les diverses méthodes, modalités et techniques d’intervention avec des caractéristiques du sujet ne sera pas abordé. Il est toutefois important de comprendre que l’intervenant ne doit pas prendre cette composante comme étant un élément isolé, mais bien comme faisant partie d’une réalité dynamique et interreliée à un ensemble d’autres éléments.
Exemple
L’exemple suivant contient les composantes sujets, animateurs, objectifs, programme et contenu, ainsi que les moyens de mise en interaction. Il vise à favoriser la compréhension de la composante au sein de la structure d’ensemble. Les autres composantes peuvent être approfondies dans les différents articles portant sur la structure d’ensemble.
Dans le cadre d’une intervention auprès d’adolescents présentant des troubles extériorisés, il pourrait être suggéré de choisir une approche cognitivo-comportementale. L’une des activités menées dans le cadre de cette approche est une activité d’auto-observation et de restructuration cognitive.
– Sujet :
Jean; 18 ans; troubles extériorisés (Il est évident que dans un cas réel cette section doit être plus complète)
– Educateur :
Marco; 30 ans; psychoéducateur (Il est évident que dans un cas réel cette section doit être plus complète)
– Objectif :
Pour le sujet :
- Découvrir ses cognitions, ses émotions et ses sensations
- Associer ses cognitions, ses émotions, ses sensations, ses comportements et leurs conséquences
- Reconnaître quelles sont les situations qui engendrent des expériences dont les conséquences sont positives et qui procurent du bien être psychologique, c’est à dire de la satisfaction et les distinguer de celles dont les conséquences sont négatives et qui sont désagréables
Pour l’éducateur :
- Reconnaître les patrons situationnels cognitifs, émotifs sensitifs, comportementaux et conséquents de l’adolescent
- Identifier les profils de réponse de l’adolescent à des situations
- Déterminer les patrons et profils de réponse de l’adolescent qui peuvent constituer des leviers pour réaliser une restructuration cognitive chez celui-ci
– Programme et contenu :
Lors d’une rencontre entre Jean et Marco :
- La présentation du but des objectifs et du code et des procédures à respecter
- L’identification brève du type d’auto observation pour la séance
- La distribution de la grille pour rédiger l’auto observation
- La rédaction de l’auto observation dans un cadre intime accompagné avec l’éducateur au besoin
Le retour sur la séance :
- L’animateur vérifie si la grille est complète
- Il examine le contenu de la grille
- Il apprécie la participation de l’adolescent
- Il renforce le participant
– Moyens de mise en interaction
Méthode didactique : Courant très cognitiviste et behavioriste puisque le sujet explore ses pensées et ses comportements à l’aide de l’auto-observations (Konanitis, 2005). Puisqu’il se base sur des situations vécues et sur lesquelles il fait un retour, il serait possible d’affirmer que le modèle théorique est également Piagétien puisqu’il permet le développement cognitif (Renou, 2005).
Moyen didactique : Il s’agit d’une activité semi-dirigée selon la classification de Gendreau (1978) puisque le matériel est pré-imprimé et fourni afin de guider le sujet dans la rédaction. Toutefois, le contenu qui doit être rajouté appartient au sujet et n’est pas dicté par l’éducateur. Puisque le sujet prend, durant cet exercice, conscience des liens entre ses propres pensées, ses émotions et ses comportements, le moyen utilisé est la découverte tel que nommée par Renou (2005).
Matériel didactique : L’exercice comprend donc les feuilles pré-imprimées et les crayons. Sans ces deux objets, le déroulement de l’activité est impossible.
Gestion des comportements : En fonction des troubles extériorisés et des capacités de l’adolescent dont il est question, les techniques d’interventions suivantes pourraient entre autres être envisagées : le renforcement positif au long de l’exercice, les encouragements au besoin, le rappel à la tâche, l’ignorance intentionnelle ou l’interdiction formelle. Toutes ces techniques permettraient au sujet de se recentrer sur la tâche et donc de mieux atteindre ses objectifs.
Soutiens empiriques
Il n’existe pas d’études, à ce jour, portant sur la composante elle-même. Par contre, le lecteur pourrait se référer aux nombreuses études portant sur les diverses méthodes didactiques et stratégies d’apprentissages particulièrement populaires en éducation, de même sur les techniques d’interventions de manière plus spécifiques. Par exemple, les modèles cognitivistes ou béhavioristes ont fait l’objet de nombreux livres et articles scientifiques (Lerner, Easterbrooks, & Mistry, 2012). Par ailleurs, les moyens didactiques peuvent également être étudiés individuellement afin d’obtenir de l’information scientifique à leurs sujets, ainsi que sur leur impact au niveau des apprentissages (voir par exemple Marzano & Pickering, 2003). Finalement, les techniques d’interventions à privilégier avec les sujets sont également l’objet d’études scientifiques et d’évaluation (voir par exemple Stage & Quiroz, 2007).
Conclusion
En résumé, les moyens de mise en interaction permettent à l’intervenant de garder en tête à la fois un cadre théorique, des stratégies de gestion des apprentissages, ainsi que des techniques d’interventions appropriées au sujet et qui favorisent l’atteinte des objectifs. Par ailleurs, bien que la composante en elle-même n’ait jamais été l’objet d’une évaluation, ses diverses parties l’ont été, il est donc possible de croire qu’elle occupe une place importante au sein de la structure d’ensemble psychoéducative.
Référence :
Gendreau, G. (1978). L’intervention Psycho-éducative solution ou défi ? Paris, France : Éditions Fleurus.
Gendreau, G. (2001). Jeunes en difficulté et intervention psychoéducative. Montréal, QC : Édition Béliveau.
Gendreau, G., & Boscoville 2000 (2003). Le modèle psychoéducatif: Module 10 disque 1 : Les moyens de mise en interactions (mise en relation) [DVD]
Gendreau, G., Prince, D. & Bernier, M. (2005). Les fiches d’exercices Module 10 : Les moyens de mise en interactions (mise en relation). Montréal : Boscoville 2000.
Kozanitis, A. (2005). Les principaux courants théoriques de l’enseignement et de l’apprentissage. Repéré à http://www.polymtl.ca/bap/docs/documents/historique_approche_enseignement.pdf
Lerner, R. M., Easterbrooks, A. M., & Mistry, J. (Eds.). (2012). Handbook of psychology: Vol. 6. Developmental psychology (2nd ed.). Hoboken, NJ: Wiley.
Marzano, J.S., & Pickering, D. (2003). Classroom management that works: research based strategies for every teacher. Alexandria, VA: ASCD.
Renou, M. (2005). Psychoéducation. Une conception, une méthode. Montréal, Québec: Sciences & Culture.
Stage, S.A., & Quiroz, D.R. (1997). A Meta-analysis of Interventions to Decrease Disruptive Classroom Behavior in Public Education. School Psychology Review, 26, 333-368
Compléments
Comment citer
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